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La Guilde Oubliée
9 février 2013

Compte rendu n°9 - 9 février 2013

Objectifs tenus ! 

Nous avions ce jour-là un invité : Victor

 

Drey

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Le vicomte pourfendu, Italo Calvino

 

Résumé : parti en guerre contre les Turcs, le vicomte Médard de Terralba est fendu en deux par un boulet de canon. Néanmoins, sa moitié droite survit. De retour sur ses terres, elle va se montrer d’une odieuse cruauté, faisant régner la terreur chez les habitants. Mais voici que l’autre moitié fait son apparition au pays… Le vicomte pourfendu est une œuvre inépuisable, où la réflexion sur l’incomplétude de l’homme ne prend jamais le pas sur l’humour et les plaisirs de la narration. Le vicomte pourfendu fait partie de la trilogie Nos ancêtres, qui comprend également Le baron perché et Le chevalier inexistant. (source : Amazon)

Avis : a bien aimé, c'est surprenant ; le passage du début est génial (le vicomte coupe tout en deux) ; le narrateur est le neveu du vicomte. La bonne partie du vicomte est très moralisatrice, ce qui est un peu chiant. Mais au final c'est drôle et ça se lit vite. 

 

 

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Shutter Island, Dennis Lehane

Résumé : nous sommes dans les années cinquante. Au large de Boston, sur un îlot nommé Shutter Island, se dresse un groupe de bâtiments à l'allure sinistre. C'est un hôpital psychiatrique pour assassins. Le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule ont été appelés par les autorités de cette prison-hôpital car l'une des patientes, Rachel Solando, manque à l'appel. Comment a-t-elle pu sortir d'une cellule fermée à clé de l'extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Oeuvre incohérente d'une malade ou cryptogramme ? Progressivement, les deux policiers s'enfoncent dans un monde de plus en plus opaque et angoissant, jusqu'au choc final de la vérité. (source : Amazon)

 Avis : a été déçue par la fin car elle ne l'avait pas vu venir. Il y avait également un passage à vide dans le bouquin qui ne donne pas envie. En revanche, le début est super, tout se met en place rapidement. C'est quand même assez bizarre de voir le héros attiré par autre une femme qui s'échappe alors qu'il aime son épouse. Dommage que la phrase de fin ne soit pas dans le film aussi. Très bon livre. 

 

 

 

 

 

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Chien du heaume, Justine Niogret

Résumé : on l'appelle chien du Heaume parce qu'elle n'a plus ni nom ni passé, juste une hache ornée de serpents à qui elle a confié sa vie. La quête de ses origines la mène sur les terres brumeuses du chevalier Sanglier, qui règne sans partage sur le castel de Broc. Elle y rencontre Regehir, le forgeron à la gueule barrée d'une croix, Iynge, le jeune guerrier à la voix douce, mais aussi des ennemis à la langue fourbe ou à l'épée traîtresse. Comme la Salamandre, cauchemardes hommes de guerre... On l'appelle Chien du Heaume parce qu'à chaque bataille, c'est elle qu'on siffle. Dans l'univers après et sans merci du haut Moyen Age, loin de l'image idéalisée que l'on se fait de ces temps cruels, une femme se bat pour retrouver ce qu'elle a de plus cher, son passé et son identité. (source : Amazon)

Avis : c'est histoire d'une femme guerrière (qui fait penser à Brienne du Trône de fer) qui cherche son véritable nom. C'est un récit initiatique, très bien écrit, qu'elle a lu avec plaisir. Tout au long du livre, Chienne dit mal parler alors qu'au contraire son vocabulaire est bon. Ca finit sans vraiment se finir, il pourrait y avoir une suite (ce qui serait bien d'ailleurs). 

 

 

 

 

 

Alex 

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 Les Kerns de l'oubli, Feldrik Rivat

Résumé : plan d’ensemble. Vue d’oiseau. De la brume se dissipe, lentement, laissant percer la masse sombre d’une île. Elle se dresse, souveraine, dans son trône de pierre. Almenarc’h. Un vent violent balaye la scène. Assombrissant le ciel. Troublant les eaux du lac. L’Imprenable, forte d’un règne millénaire, vacille, sous la menace d’un simple silence. Éperon de roche, fière citadelle, toi dont le nom est porté comme une légende aux confins du monde, pourquoi trembles-tu ? Craindrais-tu les ambitions fragiles de quelques mortels ? Cataxak, l’étranger ? Ulnhor, le roi déchu ? Roch, le gardien au coeur rongé par la colère ? Non, plus encore que tout autre nom, Almenarc’h craint le dernier de ses fils. Erkan. Guerrier maudit. Honni. Banni. Eh bien tremble, belle endormie. Car la main aveugle qui guide ce malheureux, elle, n’ignore rien du secret de tes entrailles. (source : Amazon)

Avis : c'est une bonne lecture mais ça se sent que c'est un premier roman. A bien aimé. L'univers est bien conçu, il y a un bon travail sur les personnages. Mais il ne faut pas se fier à la couverture. Bien aimé également le ton du livre, presque hautain, mais ça fonctionne. Tout est à la P1 alors qu'on suit plusieurs personnages, c'est assez particulier, quand un personnage meurt, on le suit jusqu'à la fin. L'histoire est complexe, pas vraiment manichéenne. Les dieux sont très présents, ils communiquent avec les hommes. Telleran, un vieux sage guerrier, parle tel un « bouseux médiéval » (une sorte de Yoda médiéval, en gros). Son apprenti, le « héros », a perdu la mémoire, mais son corps se souvient des mouvements. Les descriptions sont très imagées. Le méchant est classe : il s'agit d'un magicien manipulateur. Cependant à la fin ça part en sucette. Pourquoi pas lire la suite ? Les descriptions de pas mal de pays nous donnent l'impression de les visiter. En somme, c'est une bonne surprise.

 

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Les Chroniques martiennes, Ray Bradbury

Résumé : dans un monde où la lecture est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers brûle tous les livres dont la détention est interdite. Mais un de ces nombreux pompiers, Montag, en proie au doute, commence à rêver d'une société différente, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit de biens de consommation éphémères. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé. (source : Amazon)

Avis : il faut déjà dire qu'Alex est un fidèle client de Bradbury. Ce livre est un ensemble de nouvelles (de 2030 à 2057) qui se suivent. Il y a plusieurs migrations. Les terriens finissent par s'installer sur Mars et par s'imposer évidemment. Tout ce qui se passe pourrait nous arriver. Il y a pas mal de thèmes humains abordés, notamment comment faire face à la disparition d'un proche aimé, ou la nature face à la ville, ou encore l'archéologue qui veut sauvegarder une civilisation face à l'industrialisation. Toutes ces nouvelles ont un côté très réaliste. 

 

 

 

  

Le-Baiser-du-rasoir

Le baiser du rasoir, Daniel Polansky

Résumé : Bienvenue à Basse-Fosse. 
Les rues résonnent des cris des poissonnières et des hurlements des marchands dévalisés. Ici, quand quelqu'un disparaît, on ne le retrouve jamais. 
Prévôt est un ancien soldat au passé sanglant qui a le don de s'attirer des ennuis. Quand des enfants étrangement mutilés sont découverts en ville, c'est bien plus que des ennuis qui attendent Prévôt. Car il est le seul à pouvoir arrêter l'assassin. À condition que ce dernier ne l'arrête pas en premier... (source : Amazon)

Avis : c'est un mélange de fantasy et de polar, un mélange qui fonctionne plutôt bien. Le récit est à la P1, on suit un dealer qui travaille pour la pègre, un anti-héros en puissance. On apprend vite ce qui se passe. A beaucoup aimé le prévôt, qui n'est pas vraiment gentil. On voit le travail autant que l'enquête. En bref, a aimé, ça se lit bien (ce que j'appelle un « roman intermédiaire », fait pour la détente). L'univers est bien conçu, mais il parle de beaucoup de peuples qu'on ne voit pas assez. L'ambiance est sombre, la fin est très surprenante et ne dure que dix pages, ce qui est court. Il y a un peu de magie. 

 

 

 

 

Zacharie

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Le donjon rouge (t2 du Trône de fer), George RR Martin

 

Résumé : Comment Lord Eddard Stark, seigneur de Winterfell, Main du Roi, gravement blessé par traîtrise, et par la même plus que jamais à la merci de la perfide reine Cersei ou des imprévisibles caprices du despotique roi Robert, aurait-il une chance d’échapper à la nasse tissée dans l’ombre pour l’abattre ? Comment, armé de sa seule et inébranlable loyauté, cerné de toutes parts par d’abominables intrigues, pourrait-il à la fois survivre, sauvegarder les siens et assurer la pérennité du royaume ? Comment ne serait-il pas voué à être finalement broyé dans un engrenage infernal, alors que Catelyn, son épouse, a mis le feu aux poudres en s’emparant du diabolique nain Tyrion, le frère de la reine ? (source : Amazon)

Avis : premier bouquin de la saga qui l'a fait trembler (Zach nous hait parce que tous les persos qu'il apprécie sont morts), d'ailleurs il est traumatisé par la mort de BIP. Ce sont les personnages qui permettent d'apprécier l'histoire. Il détestait Sansa au début, mais a eu pitié d'elle à la fin de ce tome. Un peu déçu qu'on n'entende pas beaucoup parler de Jaimie dans ce tome. Tyrion est génial. Du point de vue scénaristique, il a bien accroché. Il apprécie le format des chapitres : des descriptions puis des discussions. 

 

 

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Sans nouvelles de Gurb, Eduardo Mendoza

 

Résumé : deux extraterrestres débarquent pour une mission d'étude. Le lieu : la terre. Sujet : les hommes. L'auteur de ce journal a la responsabilité de cette mission. Croyant bien faire, il envoie son subalterne Gurb au contact de la zone et de la "faune autochtone", métamorphosé pour l'occasion en une forme qu'il imagine totalement passe-partout : Madonna. Il ne lui faudra pas plus de 20 heures pour qu'il disparaisse et que, sans nouvelles de lui, le narrateur se voit contraint de partir à sa recherche et à la découverte de Barcelone et des habitudes terrestres. Notre héros se retrouve alors à son insu au centre d'aventures pour le moins désopilantes.Mais enfin, de qui parle-t-on ici ? De nous bien sûr ! De notre société, de ses moeurs et de ses coutumes, de son arrogance et de sa lâcheté. De ses bons côtés aussi, de ce qui fait que nous sommes parfois vils ou valeureux. (source : Amazon)

Avis : il s'agit d'une relecture ! Voilà un livre pour se détendre, on a une crise de fou rire à chaque page. C'est un livre que l'on peut qualifier de burlesque. Les deux aliens se changent en personnalités connues (telles que Madonna) pour se fondre dans la population. Ils analysent tout. Il y a quelques moments moins drôles et plus sérieux, mais l'humour revient toujours. Très rapide à lire. 

 

 

Flora 

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Le Palais Adamantin (tome 1 de la saga Les Rois-dragons), Stephen Deas

Résumé : jadis, la race des hommes faillit bien disparaître sous les crocs des dragons, mais ils découvrirent un procédé alchimique par lequel ils soumirent leurs prédateurs. Les terribles créatures servent aujourd'hui de montures aux chevaliers et de monnaie d'échange entre les grandes maisons aristocratiques. Les Royaumes ont prospéré, attirant bien des convoitises, comme celle de cet homme qui rêve de les diriger tous. Un homme prêt à empoisonner des rois et des reines. Un homme prêt à assassiner sa maîtresse et à coucher avec la fille de cette dernière. Mais des flammes vont lui barrer la route du pouvoir. Un dragon s'est échappé, et il a retrouvé ses pleines capacités intellectuelles. toute sa fureur... À lui tout seul, il pourrait bien mettre la race des hommes à genoux. Et il n'est pas seul. (source : Amazon)

Avis : c'est une agréable découverte, dans la continuité des sagas telles que l'Assassin Royal de Robin Hobb et le Trône de fer de George RR Martin. Je ne suis pas une fan des dragons mais je dois dire que j'ai apprécié ce premier tome. Encore une fois, il s'agit plus d'une bataille de pouvoir que d'une confrontation directe et brutale entre les peuples des Royaumes. Le manichéisme n'a pas sa place car tout est gris. Des personnages que l'on pourrait juger sympathiques sont en fait détestables, et inversement. Chacun sert son intérêt. 

 

 

 

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Fendragon, Barbara Hambly

Résumé : "Je suis Morkeleb le Noir. Je ne suis et ne serai l'esclave de personne, encore moins d'une femme humaine. " Lorsque Jenny Waynest, compagne du Fendragon des légendes, accepte d'accompagner l'amour de sa vie vers les terres du Sud où l'appelle son Roi, elle ne sait pas ce qui l'attend: les intrigues vénéneuses de la magicienne Zyerne, le souffle brûlant du plus sombre des dragons, mais aussi le feu dévorant d'une passion séculaire - la douleur, le renoncement et la mort. "De la fantasy épique de tout premier ordre." (source : Amazon)

 

Avis : C'est une relecture. On y suit la vie d'un couple hors norme, Jenny Waynest et John Aversin. Ce dernier est le Fendragon, un célèbre tueur de dragon dont les exploits ont été racontés dans maintes ballades. Or, le lecteur est surpris de rencontrer un « héros » qui n'a rien du chevalier au physique avantageux, tel qu'on le décrit dans les chansons. Aversin est un homme comme un autre, découvert au milieu des cochons et de la boue par Gareth, un jeune homme venu du sud pour rencontrer son idole. Jenny est, quant à elle, une magicienne désabusée, forte et indépendante. Suite aux supplications de Gareth, elle choisit de suivre l'amour de sa vie vers les terres du sud qui seraient ravagées par un sombre dragon. Fendragon est certes le récit d'une quête épique qui mène Jenny, Aversin et Gareth face au dragon Morkeleb le Noir, mais ne nous laissons pas abuser par une telle intrigue. La confrontation avec le dragon devient secondaire face aux intrigues politiques qui secouent le royaume, des intrigues menées par la magicienne Zyerne, probablement une plus grande menace que le dragon lui-même. Barbara Hambly parvient à nous captiver par la richesse de son style et à élever la fantasy au-delà des clichés que l'on rencontre habituellement dans ce genre de récit. (

 

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Des milliards de tapis de cheveux, Andreas Eschbach

Résumé : voir dans un compte rendu précédent !

Avis : une lecture déroutante, car on ne suit pas des mêmes personnages tout au long du récit mais bien un différent par chapitre. De fait, on ne s'attache pas et en plus chaque histoire a une face sombre qui ne m'a pas trop plu. Ce sont les chroniques d'une galaxie qui est régie par d'anciennes lois alors qu'une partie a évolué envers et contre tout. Même si sa lecture m'a laissé un goût amer dans la bouche, je dois avouer que le style de l'auteur est agréable et qu'on se laisse facilement imprégné par l'univers. Je pense que c'est le genre de livre qu'il faut lire au moins une fois dans sa vie.

 

 

 

 

 

 

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Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil, Haruki Murakami

Résumé : Hajime est un homme accompli, père de famille et heureux propriétaire d'un club de jazz de Tokyo. Lorsqu'un beau jour, son amour d'enfance, Shimamoto-san, surgit dans son bar. Les retrouvailles avec cette femme insaisissable, qui n'apparaît que les jours de pluie, plongent Hajime dans l'abîme d'une quête obsédante, contre la course du temps et des sentiments... (source : Amazon)

Avis : j'ai choisi de le lire pour passer le temps, à vrai dire. J'avais besoin de lire quelque chose de peu contraignant et ça a été le cas. Le style de Murakami oscille encore une fois entre le brut et le poétique. Mais c'est une lecture qui ne m'a pas touchée plus que ça.

 

 

 

 

 

 

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La Horde du Contrevent, Alain Damasio

 

Résumé : même chose !

 

Avis : enfin ! je suis allée jusqu'au bout et je l'ai lu. La Horde du Contrevent est une sorte de passage initiatique dans notre guide. On doit le lire impérativement. Et je l'ai fait alors que, comme Drey, j'ai dû m'arrêter à un moment car c'était trop dur. Pas dur dans le sens où c'est une lecture difficile (parfois complexe mais cependant magnifique), mais parce qu'elle est cruelle. Si vous lisez ce chef-d'oeuvre, vous saurez pourquoi. La fin m'a laissée un peu sur le cul. Ca n'en reste pas moins l'un des meilleurs romans de SF (français, qui plus est!) que j'ai lu jusque-là. À découvrir impérativement.

 

 

  

Victor

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De sang froid, Truman Capote

Résumé : il était midi au coeur du désert de Mojave. Assis sur une valise de paille, Perry jouait de l'harmonica. Dick était debout au bord d'une grande route noire, la Route 66, les yeux fixés sur le vide immaculé comme si l'intensité de son regard pouvait forcer des automobilistes à se montrer. Il en passait très peu, et nul d'entre eux ne s'arrêtait pour les auto-stoppeurs... Ils attendaient un voyageur solitaire dans une voiture convenable et avec de l'argent dans son porte-billets : un étranger à voler, étrangler et abandonner dans le désert. (source : Amazon)

 

Avis : c'est en lisant le journal que Truman Capote a trouvé un fait divers qui lui a permis d'écrire cette histoire. Il voulait avant tout écrire un roman journalistique. Son objectif était de retranscrire le point de vue des gens du village dans lequel on a trouvé les victimes. On s'attache facilement à la famille qui semble idéale. Dans la deuxième partie, on suit les deux tueurs, et on s'attache aussi à eux car pour l'instant on ne peut pas les juger. Dans la troisième partie, ils se font attraper, et on apprend alors ce qui s'est passé car l'un des tueurs décrit le meurtre. On n'arrive pas à les détester car ils sont très humains, et c'est ça qui rend la lecture encore plus horrifiante. Ils ont été condamnés à mort et on décrit tout jusqu'à ce qu'ils soient pendus. Capote arrive à être totalement objectif, on sort de ce roman en ne sachant pas trop quel parti prendre. C'est un roman honnête et humain, un formidable plaidoyer contre la peine de mort. Le titre est là pour dénoncer la peine de mort car personne ne cherche à comprendre les deux tueurs. Son chef-d'oeuvre car Truman Capote n'a pas pu écrire après ça. 

 

Objectifs du mois prochain :

Alex : Le seigneur de l'arc d'argent

Drey : Jonathan Strange

Flora : Le Déchronologue

Zach : La Horde du Contrevent

 

Objectif trois mois :

La peste écarlate de Jack London

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